AirVisual présente des données provenant d'organismes de surveillance gouvernementaux et non gouvernementaux. Toutes les données sont constamment contrôlées et validées par le système d'intelligence artificielle (IA) d'AirVisual, basé sur le cloud, qui utilise des milliards de points de données sur la qualité de l'air et la reconnaissance des formes pour signaler ce qu'il considère comme inapproprié.
Stations de surveillance gouvernementales
Les stations de surveillance gouvernementales sont généralement des "moniteurs de référence" très coûteux. Ils sont généralement considérés comme la source la plus précise et la plus fiable de données mesurées sur la qualité de l'air. Cependant, les capteurs gouvernementaux peuvent parfois rencontrer des problèmes et transmettre des données inexactes, comme une hausse soudaine de la pollution. Cela peut s'expliquer par des périodes temporaires de maintenance ou de défauts, ou par des sources d'émission hyperlocales temporaires à proximité du capteur.
Le système AirVisual soumet donc toutes les données des capteurs gouvernementaux à un système de validation des données avant leur publication. Un exemple de ce processus de validation : si le système en nuage d'AirVisual identifie des anomalies potentielles publiées par une station (par exemple, un pic soudain de PM2.5 de 10ug/m3 à 100ug/m3 d'une heure à l'autre), il recoupera les données avec d'autres mesures à proximité pour vérifier si un tel pic est représentatif ou s'il s'agit d'une anomalie. Nous procédons également à des vérifications croisées avec des modèles historiques et d'autres paramètres tels que les conditions météorologiques. En fonction des résultats des contrôles croisés, la valeur sera publiée ou actualisée en conséquence.
Stations de surveillance non gouvernementales
D'autres capteurs sont également soumis à un processus d'étalonnage et de correction des données, en plus du processus de validation décrit ci-dessus.
Ce système d'étalonnage prend en compte les conditions environnantes telles que la température et l'humidité, et applique un algorithme d'étalonnage des données basé sur les conditions environnementales. Par exemple, des niveaux d'humidité élevés peuvent, dans certaines circonstances, conduire à ce que les capteurs à bas prix surestiment les niveaux de PM2.5. Par conséquent, cet algorithme d'étalonnage et de correction prend en compte les niveaux d'humidité locaux et d'autres paramètres environnementaux, en plus des modèles historiques régionaux, et ajuste les mesures de PM2.5 en conséquence.
Le niveau d'ajustement est déterminé par le système basé sur le cloud, qui repose sur l'intelligence artificielle et l'apprentissage automatique. Le système AirVisual tire des enseignements de ses années d'agrégation de milliards de points de données sur la qualité de l'air mondial provenant de capteurs de référence, de capteurs AirVisual, de données météorologiques et de la composition de la pollution à partir de l'imagerie satellite.
Si vous pensez qu'une station a un problème
Toutes les données qui sont finalement publiées sur la plateforme AirVisual ont fait l'objet d'un processus de vérification rigoureux. Au fil des ans, AirVisual a mis au point le système de validation des données sur la qualité de l'air le plus avancé qui soit, afin de garantir la meilleure précision et la plus grande fiabilité possibles des données. Toutefois, en cas de doute sur les données, AirVisual offre aux utilisateurs la possibilité de signaler un problème potentiel avec une station. Cela garantit une double validation des données : celle du système et celle de la communauté.